@article{Guislin_2018, title={1914, l’été meurtrier}, volume={14}, url={http://www.histoire-valenciennes-cahv.fr/Memoires/index.php/Memoires/article/view/870}, abstractNote={<div class="t pg-1m0 pg-1x1 pg-1h2 pg-1y1 pg-1ff1 pg-1fs0 pg-1fc0 pg-1sc0 pg-1ls0 pg-1ws0">Jean-Marc Guislin brosse à grands traits une fresque des tragiques événements guerriers de l’été 1914 en Belgique et dans le Nord-Pas-de-Calais. Il évoque les stratégies différentes des états-majors. La neutralité belge paraissait assurer une protection efficace à la France du Nord ; on imagine la sidération des gouvernants comme des peuples quand le Reich wilhelminien viola cette neutralité en envahissant la Belgique. Les exactions de l’armée allemande en Belgique qui accréditent le thème véhiculé par les Alliés tout au long du conflit de la « barbarie allemande », l’incroyable férocité de la bataille des frontières (5-25 août), on le sait aujourd’hui, firent que ces jours furent parmi les plus monstrueusement meurtriers de toute la guerre. Les villes de la vallée de l’Escaut tombent rapidement, à commencer par Valenciennes occupé dès le 25 août. Après la bataille de la Marne, ce qu’il est convenu d’appeler dans l’historiographie « la course à la mer » (16-18 octobre-11 novembre 1914) fait rage en Flandre française et belge et marque la fin de la guerre de mouvement.</div>}, number={2}, journal={Mémoires du Cercle Archéologique et Historique de Valenciennes}, author={Guislin, Jean-Marc}, year={2018}, month={mars} }